Le pire est encore à venir
La machine économique mondiale est en train inexorablement de s’enrayer
La machine économique mondiale est en train inexorablement de s’enrayer
Les grands auteurs des temps anciens Que disent-ils de la puissance ? De la richesse ? De l’impatience ? De la démesure ? Du sens de la vie ?
La crise financière actuelle nous rappelle les vertus et les dangers du monde dans lequel nous vivons: il est de plus en plus celui du virtuel, c’est à dire des signes ; et en particulier dans trois domaines, de plus en plus envahissants : la musique, l’internet et la finance. Ces trois domaines sont aussi, et ce n’est pas un hasard, des lieux privilégiés d’usage d’une drogue, la cocaïne.
La dépression peut être évitée à condition d’agir maintenant
A priori, c’est une élection qui ne concerne qu’un tout petit pays, Israël, confronté à de gigantesques problèmes sociaux. En fait, cette élection concerne le monde entier, dont la stabilité dépend très largement de celle du Moyen-Orient, qui dépend-elle même beaucoup de la capacité des Israéliens et des Palestiniens à faire la paix et à se reconnaitre.
Il n’est pas possible de ne pas entendre le désespoir des jeunes d’aujourd’hui : Ceux qui font des études sont perdus dans la complexité des parcours, la vétusté des lieux d’enseignement, l’absence de bourses et de logements étudiants.
Parmi les nombreux écueils que recèle encore la crise, il en est un d’ampleur tout à fait considérable, encore soigneusement dissimulé, malgré son imminence : Dans quelques semaines, les banques vont devoir annoncer leurs résultats de 2008.
Que se passerait-il si Nancy était bombardé par des fusées tirées depuis Luxembourg ? Si des attentats suicides avaient lieu dans les rues de Paris ? Et si des pays limitrophes de la France ne reconnaissaient son droit à exister ?
La bataille qui se joue à Gaza en ce moment ne concerne pas que les Israéliens et les Palestiniens ; elle est annonciatrice d’une évolution considérable des formes du combat entre nations, et entre nations et entités non étatiques.