La rigueur, évidemment
Le lapsus du premier ministre, qui s’explique peut être par la fatigue due au décalage horaire, est bienvenu : On ne peut pas continuer à refuser de reconnaitre que la rigueur s’impose, de façon urgente : Nos déficits sont abyssaux, tant ceux de l’Etat que de la sécurité sociale, des collectivités locales et des autres services publics…