La démocratie et le réel
Ainsi, nous dit-on, les démocraties européennes seraient moribondes. Elles seraient passés, au mieux, sous la tutelle de technocrates venus de Bruxelles ou de Francfort ; au pire, sous celle des marchés. Et tout cela, naturellement, serait la faute de l’euro, de l’Union Européenne, des banques et de bien d’autres gens. Pas la notre.