Changer, par précaution
La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes.
La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes.
Par la maladresse d’une ministre, la démagogie de quelques syndicats, le corporatisme de certains enseignants- chercheurs, voilà qu’une fois de plus, de très nombreux étudiants vont avoir une année gâchée.
L’Amérique latine, en proie à une violence endémique, multiplie les expériences en faisant appel au citoyen pour défendre la sécurité de leur cité.
Quand les grilles horaires des trains reflètent le dynamisme des pays et des continents.
La crise financière actuelle nous rappelle les vertus et les dangers du monde dans lequel nous vivons: il est de plus en plus celui du virtuel, c’est à dire des signes ; et en particulier dans trois domaines, de plus en plus envahissants : la musique, l’internet et la finance. Ces trois domaines sont aussi, et ce n’est pas un hasard, des lieux privilégiés d’usage d’une drogue, la cocaïne.
Il n’est pas possible de ne pas entendre le désespoir des jeunes d’aujourd’hui : Ceux qui font des études sont perdus dans la complexité des parcours, la vétusté des lieux d’enseignement, l’absence de bourses et de logements étudiants.
Une longue période sans élections s’ouvre. Profitons-en sans attendre l’aggravation de la crise économique de l’Occident.
Au lieu de précariser les emplois, il faut sécuriser le parcours des jeunes en leur fournissant une rémunération digne de ce nom.
PRÈS de la moitié des enfants qui naîtront en France cette année seront encore vivants quand commencera le XXIIe siècle. Aucun de leurs enfants ne sera plus au travail ; plus de la moitié de leurs petits-enfants et de leurs arrière-petits-enfants seront encore à l’école ou à l’université. Telle est l’extraordinaire prédiction qu’on peut faire au vu des tendances les mieux établies : notre société sera durablement dominée par l’épargne des grands-parents et la consommation des petits-enfants.