Le déficit doit être détruit avant qu’il nous détruise
Le déficit public est devenu une folie suicidaire qui entraînera, si on ne réagit pas vite, le pays dans un déclin dont il ne se relèvera pas.
Le déficit public est devenu une folie suicidaire qui entraînera, si on ne réagit pas vite, le pays dans un déclin dont il ne se relèvera pas.
Si les compagnies d’assurance sont contraintes de suivre les nouvelles normes prudentielles définies avant la crise, les conséquences pourraient être désastreuses.
L’Etat n’est pas avare de ses conseils aux contribuables, aux consommateurs, aux salariés, aux électeurs, aux citoyens. Mais que fait, pour se réformer lui-même, celui qui prétend diriger la vie des autres ? Peu de choses. Beaucoup trop peu de choses.
En 1929 une réglementation très stricte avait été imposée aux banques responsables de la crise, ce n’est même plus le cas.
Aux yeux de certains, se prépare une sortie miracle de la crise : par le jeu combiné du plan Geithner et de la modification comptable. On voit s’installer un marché des produits dérivés, où les unes vendront très cher aux autres des actifs, pour en racheter d’autres, plus cher encore : ainsi se formera une bulle de valeurs d’actifs, entièrement financé par le contribuable.
Les banquiers traditionnels ont détourné à leur profit un système dont ils devaient être les serviteurs
La machine économique mondiale est en train inexorablement de s’enrayer
La dépression peut être évitée à condition d’agir maintenant