Retirer la loi, ou presque
Rien ne serait plus désastreux pour le gouvernement que de retirer le projet de loi sur la réforme du Code du travail…
Rien ne serait plus désastreux pour le gouvernement que de retirer le projet de loi sur la réforme du Code du travail…
cette question si fréquente et si banale, il est naturel de répondre de façon légère et allusive, sans jamais entrer dans le détail…
Pendant que le monde vit des drames de plus en plus intenses, le Festival de Cannes, premier rendez-vous mondial du cinéma, bat son plein. A regarder les images que nous en renvoient les médias, de montées des marches en interviews, on pourrait penser que le cinéma ne reflète en rien la vérité du monde, qu’il n’est que le lieu des fantasmes et des intérêts d’une industrie de la distraction, détachée du réel
Je ne crois pas une seconde au succès du Brexit, c’est-à-dire à la sortie de la Grande Bretagne de l’Union Européenne…
De tous les côtés de l’échiquier politique, dans d’innombrables pays, revient comme une antienne l’idée d’un revenu général universel, ou salaire de base. Il existe déjà, à l’état expérimental, au Canada, en Alaska, en Inde, en Namibie, aux Pays-Bas ; il sera attribué en Finlande à partir de 2017, à titre provisoire. Les Suisses eux-mêmes vont bientôt voter à ce propos.
En général, quand quelqu’un se dit « ni de droite, ni de gauche », c’est qu’il est de droite. Ou, au plus, du centre, ce qui n’est, le plus souvent, qu’un autre nom de la droite, comme l’a démontré depuis 30 ans la vie politique française.
Depuis la révélation de l’existence d’un grand nombre de comptes cachés au Panama, on assiste à un débat d’une grande confusion. D’abord, on feint de découvrir que des richesses énormes échappent à l’impôt : on sait pourtant depuis longtemps que c’est le cas pour plus du tiers de la richesse produite mondialement chaque année et que ces ressources manquent cruellement partout, en particulier dans les pays les plus pauvres.
On a prétendu que, dans nos sociétés, la mort serait cachée, occultée, censurée ; et que, même, tout était fait pour dissimuler les corps des défunts. Quelle illusion !
Quelle mouche a donc piqué le secrétaire général de l’ONU, en fin de mandat, M. Ban Ki Moon, lors de son voyage dans un camp de réfugiés près de Tindouf (sud-ouest de l’Algérie) et à Bir Lahlou, où sont postés des observateurs militaires de la mission des Nations Unies…